Certaines études montrent combien les professionnels peinent à aborder la thématique de la mort avec les personnes qu’ils accompagnent. La peur de réactions émotionnelles fortes, ainsi que de mettre à mal le fil ténu de l’espoir en sont souvent les principales causes. En parallèle, certaines recherches mettent en évidence l’importance pour la personne âgée, malade, ou en fin de vie, de disposer de l’ouverture nécessaire pour aborder sa finitude, et les questions qui lui sont liées. Comment alors se rejoindre ? Une question délicate dont les éléments de réponse ne peuvent s’élaborer qu’à partir de soi-même, de sa propre histoire, en lien avec ses expériences personnelles. La théorie, à ce moment précis, ne suffit plus…

• Identifier les expériences en lien avec la mort au cours de son parcours de vie
• Dégager des expériences passées les ressources et les freins pour oser évoquer la mort avec les personnes accompagnées, ou sa propre mort.
• Envisager différents moyens pour dépasser ses propres freins

Toute personne engagée dans l’accompagnement de personnes âgées, de personnes atteintes de maladie grave, ou en fin de vie; bénévoles; externes

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